Le fiacre bringuebalait doucement dans la rue. Mon valet n'avait eut aucun mal à trouver l'adresse qui nous avait été indiquée. Quelques lumières chaleureuses repoussaient le froid et les ténèbres d'un début de soirée. Le bâtiment de ne pouvait passer inaperçu tant il respirait l'aisance. Et autre chose peut-être.
Je m'attardais assez peu sur l'architecture pourtant soignée, pliant et dépliant la lettre du Duc encore dans mes mains. J'avais longuement hésité, le chemin avait été long pour venir séant. Mais bon, le destin n'arrive pas seul au pied de la porte. Ces gens m'intriguaient, j'avais envie d'en savoir plus sur ce que cachait un nom aussi célèbre.
Le service d'accueil fut impeccable, pour le moins. Pendant que mes gens partaient garer le fiacre avec un des laquais, je me laissais guider vers ce que je supposais être l'antichambre. Nous traversâmes un parc plutôt sobre. L'entrée officielle sûrement.
La pièce où l'on me mena était confortable et bien meublée. Quelques peintures, une tapisserie... je montrais un intérêt poli, tachant de cacher ma nervosité. Un domestique quelconque m'informa qu'il allait prévenir ses maitres de ma présence.
Une fois dans les lieux, je ne pouvais plus reculer. J'essayais de trouver un siège adéquat. Je pliais la lettre, et réarrangeait ma coiffe. Je n'avais plus qu'à attendre et voir quel hôte viendrait satisfaire ma curiosité.
Et ma soif par la même occasion.
Je m'attardais assez peu sur l'architecture pourtant soignée, pliant et dépliant la lettre du Duc encore dans mes mains. J'avais longuement hésité, le chemin avait été long pour venir séant. Mais bon, le destin n'arrive pas seul au pied de la porte. Ces gens m'intriguaient, j'avais envie d'en savoir plus sur ce que cachait un nom aussi célèbre.
Le service d'accueil fut impeccable, pour le moins. Pendant que mes gens partaient garer le fiacre avec un des laquais, je me laissais guider vers ce que je supposais être l'antichambre. Nous traversâmes un parc plutôt sobre. L'entrée officielle sûrement.
La pièce où l'on me mena était confortable et bien meublée. Quelques peintures, une tapisserie... je montrais un intérêt poli, tachant de cacher ma nervosité. Un domestique quelconque m'informa qu'il allait prévenir ses maitres de ma présence.
Une fois dans les lieux, je ne pouvais plus reculer. J'essayais de trouver un siège adéquat. Je pliais la lettre, et réarrangeait ma coiffe. Je n'avais plus qu'à attendre et voir quel hôte viendrait satisfaire ma curiosité.
Et ma soif par la même occasion.